Ces deux semaines me demandèrent pas mal d'énergie mais elles furent très productives :

Interdiction de regarder sa maîtresse dans les yeux.

• Interdiction de s'asseoir sur un meuble fait pour cela.
• Interdiction de rejoindre le lit sans y avoir été invité 
• Interdiction de sortir sans autorisation.
• Interdiction d'avoir de l'argent sur lui excepté l'argent minimum que je lui donnais le matin avant de partir au travail et qu'il devait me rendre avec les comptes le soir venu.
• Obligation d'organiser ses besoins à la maison (ceinture de chasteté).
• Petit déjeuner au lit pour sa maîtresse, servi à genoux.
• Caresses buccales de certaines parties de mon corps à ma demande, début de restrictions, concept des zones " interdites ".

Puis, du 34ème au 69ème jours :

• Jouissances de sa maîtresse à la demande.
• Hygiène intime exclusive de ma chatte.
• Apprentissage de l'existence d'un amant (acceptation des 6 autres futurs).
• Acceptation des coups de fils pour Madame.
• Apprentissage de la punition corporelle (martinet), avec ou sans raison.
• Vaisselle, lessive, nettoyage des sols, etc.
• Nuits passées au garage lors des visites de mon amant.
• Apprentissage des postures agréables à l'œil de Madame.
• Habillage et déshabillage de Madame, yeux fermés dès la nudité des seins ou de son ventre.
• Toilette de Madame, bains, douche, toilette à la chambre avec cuvette et tout le nécessaire.
• Extrême serviabilité et empathie pour tous les amis et amies de Madame.

Puis, pour avoir le droit de jouir dans ma main :

• Acceptation du concept selon lequel " le mari de Madame est très gentils, mais il est impuissant ".
• Acceptation du principe selon lequel l'esclave peut demander une caresse, doit demander la permission avant de se répandre.
• Acceptation qu'une ou l'autre des amies de Madame connaissent le secret.

  D'autres concepts sont ensuite inculqués, notamment avant d'autoriser la jouissance, par l'obtention de promesses, des tests de soumission, et autres humiliations diverses, car ce moment est propice et la résistance de l'esclave diminuée.

  • Humiliations et moqueries (depuis quand il n'a plus joui…)
  • Comparaisons de performances, jalousie (jouissances accordées à d'autres…)
  • Assignations de gages divers (attentes, positions, s'annoncer avant d'entrer…)
  • Interdiction de toute nature (Fumer, boire, entrer dans telle ou telle pièce…)
  • Restrictions diverses momentanées ou durables (ne plus avoir le droit de caresser mes seins jusqu'à nouvel avis…)
  • Menaces et mise en œuvre de diverses punitions programmées et difficilement évitables dans son état. (Interdiction de bander puis claques sur le sexe…)

  Au terme de cette prise de pouvoir, j'ai obtenu un nouveau mari, parfaitement à ma main, sans les inconvénients d'un divorce qui aurait eu des conséquences fâcheuses pour tous les deux. Je me suis découvert une sexualité beaucoup plus libérée. Il m'arrive de temps en temps de me laisser aller dans les bras de mon homme, de lui accorder son plaisir, mais je reprends toujours les rennes. Evidemment j'ai changé plusieurs fois d'amant. Je raconte toujours mes frasques à mon esclave de mari, cela le rend très jaloux. Toutefois je ne lui précise pas réellement le nombre de mes amants, ni leur nom. 

  Quand à la manière de maintenir mon esclave en parfaite soumission, c'est un travail continu, mais de moins en moins difficile. Il faut ne pas avoir peur de frustrer un mec pour qu'il vous désire très longtemps. De plus, les hommes adorent se soumettre à leur institutrice, leur maman, leur infirmière. Il suffit de les exciter, de les frustrer de leur plaisir, de les punir de leur désir pour qu'ils retombent en enfance. Notre couple s'en trouve vraiment renforcé et je ne suis pas prête à céder mon esclave.