Jeudi 29 avril 4 29 /04 /Avr 18:11
- Par Maitressecaprice - Publié dans : Histoires et textes d'autre site

Durant la semaine qui suivi, je sortis avec lui au restaurant, il devait me séduire, se monter avenant, tout faire pour que je l'embrasse, sachant que cela durerait au moins 6 jours avant que je ne le prennes dans mes bras. Ce petit jeu nous excita tout les deux au plus haut point. De mon côté, n'y tenant plus, et surtout, pour ne pas prendre de mauvaises résolution, je décrochait le téléphone.

Jacques est l'ami qui m'avait fait cette fameuse confidence. Depuis il a essayé à plusieurs reprises de m'inviter. Il est marié lui aussi. Il m'a parlé de sa femme qui ne lui accorde pas ce qu'il recherche, etc… je commençais à connaître la chanson. Je lui expliquais tout de go que je voulais bien d'un amant, à condition qu'il ne se permette jamais rien qui puisse mettre notre couple en danger. Il accepta sans se faire prier, un peu étonné de ma remarque. Cette nuit là il me fit plusieurs fois l'amour dans le garage en face de notre villa. Je lui expliquais que mon mari allait probablement revenir, mais que j'avais des doutes et que de toute façon, il méritait bien que je le trompe dorénavant. Cet arrangement convenait parfaitement à Jacques, à moi aussi…

Je fis signer tous les papiers à mon mari le même jour. Le matin nous allâmes chez l'avocat. A midi, nous dînions ensemble, Il passa près d'une heure avec mon pied entre ses cuisses, et au café mon mari signa les autres papiers sans les regarder. C'était son gage pour avoir le droit de me prendre la main, tout près de mes seins, il eut une petite claque, puis une caresse sur la joue. Je caressai aussi ses lèvres avec mes doits en continuant mon " office " avec mon pied. Il était fou de désir et je lui annonçai qu'il pouvait donner le congé de son studio pour dans 27 jours. Il me raccompagna en amoureux mais dut rester devant la porte. Je l'empêchai de trop m'approcher, tout en me montrant très excitée et complice.

J'eus beaucoup de peine à éviter qu'il ne m'embrasse. Je dus lui rappeler qu'il devait encore attendre 12 jours pour l'obtenir. Je lui donnai rendez vous pour dans une semaine. Une fois à l'intérieur, je m'assurai qu'il rentrait et décrochait le téléphone…


L'attente du retour [faire monter la pression]

Pendant les 27 jours qui suivirent, j'en passai 12 à mon travail à préparer des vacances improvisées, en invoquant des prétextes pour ne pas rencontrer mon mari plus d'une fois. Il fit mine de s'énerver mais je laissais volontairement monter la pression. A la fin je sortis avec lui au restaurant et me fit raccompagner jusqu'à ma porte. Mon mari était inquiet.

Il craignait que je ne lui aie fait signer des papiers sans respecter ma promesse. Je l'embrassai enfin en lui expliquant que la dette du premier baiser à sa concubine était maintenant payée. Je me montrai très câline tout en gardant une certaine fermeté. " Tu as fait une promesse ". Je lui annonçai que je partais en vacances avec une amie. C'était vrai en partie. A mon retour, je l'autoriserai à revenir à la maison à la condition que il me fasse le serment de continuer à te monter avenant sans chercher à me caresser pendant encore deux semaines. " J'ai un moyen de t'aider à respecter cet engagement, un moyen que tu aimes particulièrement " Quelques baisers et quelques caresses bien senties firent la décision.

Mes vacances furent consacrées à Jacques et à la recherche d'une ceinture de chasteté portable jours et nuit.


Le retour

Mon mari avait donné le congé de son appartement pour la fin du mois. A la date prévue, il organisa un déménagement en règle et se présenta à la maison avec les aides déménageur. J'étais prête à le recevoir. La maison avait beaucoup changé durant son absence. Lorsqu'ils sonnèrent à la porte, j'ouvris dans une tenue des plus sexy. Je pris mon mari à part, dans la chambre à coucher. " Je veux que tu te déshabilles complètement et que tu m'attendes sur le lit sans bouger, je m'occupes du déménagement ".

Je fis signe au chauffeur que nous arriverions dans quelques minutes et leur servi une bière. Il fit ce que je demandai. Je lui ordonnais de fermer les yeux et de ne pas bouger, sous aucun prétexte. Je m'approchai de lui avec des menottes et lui attachai les mais en croix au sommet du lit. Puis je lui passai la ceinture de chasteté et l'embrassai en le caressant.

Je lui teins a peu près ce langage : " J'ai bien réfléchi pendant mes vacances : Je veux que tu deviennes mon esclave ". Je déciderai dorénavant de ta manière de vivre, de tes sorties, de tes désirs intimes et de tout ce qui te concerne. Evidement si tu dis non, je te détache et tu repars avec tes déménageurs. N'oublies pas notre accord et tu ne seras pas déçus. J'ai promis que tu seras le plus excité des hommes, ta vie sexuelle ne fait que commencer… ".

Je donnai des instructions aux déménageurs pour qu'ils déposent les affaires de mon mari dans une pièce vide pour l'occasion et les renvoyai chez eux non sans avoir bu un dernier verre en leur compagnie.

Je retournais enfin auprès de mon mari, toujours attaché et constatais que son désir n'avait en rien diminué. Je lui expliquai que, de toute façon, il ne devrait pas me toucher, ni s'approcher de moi pendant deux semaines. Qu'il aurait droit à me caresser, comme il l'avait fait avec sa nana, une fois ce temps écoulé. Je me montrais à la fois ferme et caressante.

Durant de temps mon mari garda sa ceinture et dormi attaché. Je l'excitai au maximum sans toutefois lui permettre d'atteindre l'orgasme. Je mis ce temps d'attente à profit pour lui enseigner l'art de contenter sa nouvelle maîtresse. A mon étonnement mon mari fit beaucoup d'effort pour me contenter. Ces deux semaines furent une suite d'attouchements dans la région de mes cuisses, sans atteindre mon sexe.

Lorsque qu'il se montrait trop entreprenant, je le giflai, puis lui ordonna de se mettre à genoux et de demander pardon. Je pris aussi l'habitude de lui parler comme à un mauvais garnement. Je me montrais tour à tour sévère, conciliante, moralisatrice, humiliante, encourageante, amoureuse, méprisante, maternelle, etc. Je saignais l'art du chaud et du froid.

Petit à petit, j'affirmais ma supériorité. Je demandais des comptes sur sa journée, les femmes qu'il avait regardées, l'argent qu'il avait dépensé. J'organisais aussi son temps libre en alternant moment de liberté " deux heures pour aller faire du vélo ? Ok pour une heure, ensuite c'est moi qui sors. "

A mon retour je pris l'habitude de lui raconter mes rencontres masculines, lui attaché sur le lit, ou en train de me masser les pieds ou de tenir le cendrier pendant que je me relaxais. Je posais souvent mon pied sur son sexe, en signe de domination. Je lui appris aussi à ne pas me regarder dans les yeux, à prendre toujours une posture plus basse que la mienne, à ne pas s'assoire sur les chaises ou les canapés, à attendre près du lit que je lui donne l'autorisation de me rejoindre. Il m'arriva aussi de composer, de l'appartement de mon amant, le N° de téléphone de la maison, puis de poser le combiné sous le lit…

Je fus réellement étonnée de constater à quel point le désir réduisait la volonté de mon apprenti esclave. Naturellement j'adoptais toujours une tenue impeccable, sexy et supérieure à souhait, mais ne lui permettant pas de me voire nue. Je faisais souvent en sorte qu'il puisse deviner certaines parties de mon corps, tout en le réprimandant de regarder. Je faisais en sorte qu'il soit aussi coupable de son désir, sans jamais rien faire qui puisse en diminuer l'intensité.

L'approche de mon sexe devenait pour lui une obsession. Je faisais toujours en sorte qu'il sente assez fort, de sorte que lors des caresses buccales qu'il apposait sur l'intérieur de mes cuisses, son nez soit très attiré par ma chatte. " Non mon toutou, il te reste encore 3 jours avant de la toucher ! ". Mon mari ne s'offusquait même plus des surnoms que je lui donnais.

Par contre un petit rien le mettait dans un état d'excitation proche de la transe. Il arrivait que je doive l'emmener à la salle de bain en pleine nuit pour lui administrer une douche froide car il m'empêchait de dormir. Je le faisais avec une parfaite mauvaise foi. Une fois partiellement calmé par la douche je l'obligeait à me déposer un baiser de remerciement à quelques millimètres de ma chatte, ce qui avait pour effet de raviver son désir. Ensuite, sous prétexte qu'il était décidément un vicieux, je l'emmenai dormir à la buanderie, attaché à un tuyau d'écoulement.

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